Émoticrème®
Menthe poivrée
Soin pour la bouche

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Application avec la brosse à dents

Déposer une noisette de crèmeA ne pas confondre avec « pommade ». En effet, une crèm… More sur une brosse à dents DOUCE.

Se brosser les dents et les gencives. Faire circuler dans la bouche et entre les dents.

Si possible, garder en bouche quelques minutes.

Si vous le souhaitez, complétez le soin avec une brossette et/ou du fil dentaire et/ou un hydropulseur (jet dentaire).

Se rincer la bouche.

Application sans brosse à dents

Se rincer la bouche après le repas avec de l’EAU (gargarisme afin d’éliminer un maximum de débris alimentaires résiduels).

Penser aux espaces interdentaires et recoins.

Appliquer la crèmeA ne pas confondre avec « pommade ». En effet, une crèm… More avec la langue et/ou le doigt (massage des gencives possible).

Laisser poser le plus longtemps possible.

Couche épaisse pour les zones qui en ont besoin

DÉPOSER une COUCHE ÉPAISSE avec la langue et/ou le doigt (cf tuto vidéo).

Laisser poser le plus longtemps possible.

À renouveler aussi souvent que nécessaire.

En utilisation quotidienne avec ou sans brosse à dents :

En couche épaisse:

Pour un microbioteChacun de nous cohabite et héberge plusieurs microbiotes (a… More buccal en bonne santé :
Appliquer l’Émoticrème® au minimum après chaque repas :

• soit en se lavant les dents avec l’émulsion
• soit bien se rincer la bouche avec de l’eau plate, puis appliquer une noisette avec la langue et/ou le doigt

Pour prendre soin des muqueuses buccales (gencives, langue, etc.) :
Sur les zones qui en ont besoin :

• Rincer
• Appliquer une COUCHE EPAISSE avec la langue et/ou le doigt
• Laisser poser le plus longtemps possible
• A renouveler autant de fois que nécessaire

La maladie parodontale n’est pas une maladie locale, mais générale. En effet, comme le précise le Dr Donatini*, elle est un signe d’inflammation chronique diffuse, qui augmente considérablement le risque de neurodégénérescence (Parkinson, Alzheimer), de problèmes cardiovasculaires, d’ostéoporose, et mène à la destruction de l’ensemble des muqueuses ainsi qu’à l’atteinte du système nerveux autonome (acouphènes, vertiges, malaises vagaux, troubles du rythme, mauvaise vidange vésicale, troubles sexuels, etc.). Cette maladie silencieuse est également associée à un risque accru de cancer et du syndrome métabolique. Elle touche 10 à 30% de la population et commence souvent à s’installer vers l’âge de 30 ans, avec au départ une évolution très lente. En l’absence de traitement, elle détruit non seulement les gencives mais également l’os.

*Le Dr Bruno Donatini est gastro-enterologue-hépatologue, diplômé en cancérologie, immunologie, osthéopathie et médecine anti-âge. Il s’investit depuis plus de 20 ans dans la mycothérapie et l’hygiène de vie pour améliorer l’immunité, le microbioteChacun de nous cohabite et héberge plusieurs microbiotes (a… More et la muqueuse digestive, ou la préservation du système nerveux autonome.

Deux grands axes de prévention (Dr Donatini) :

1. Favoriser un bon microbiote buccal :

   • Éviter au maximum la présence de débris interdentaires qui favorisent le développement des micro-organismes pathogènes :
     • Se laver les dents après chaque repas (brossage vertical, ciblé sur les espaces interdentaires et les endroits où surviennent habituellement les bourrages alimentaires). En cas d’impossibilité, au moins se rincer la bouche avec de l’eau plate.
     • Compléter au moins une fois par jour (le soir de préférence) cette chasse au débris par l’utilisation d’un fil dentaire (à manier délicatement), d’un fil à manche, de brossettes/bâtonnets interdentaires douces ou du jet dentaire (hydropulseur).
   • Limiter le sucre : jus de fruits, boissons gazeuses (sodas, bières, eaux pétillantes…), alcool
   • Favorise les aliments pauvres en FODMAPs (Fermentable Oligo-, Di-, Monosaccharides And Polyols) c’est-à-dire pauvres en certains types de sucres (fructane, lactose, fructose, sorbitol,…) afin de limiter la fermentation digestive : pomme de terre, riz, quinoa, fromages à pâte dure ou affiné (au moins 4 mois), etc.
   • Privilégier les LEGUMES bio : notamment ceux qui permettent une diversification du microbioteChacun de nous cohabite et héberge plusieurs microbiotes (a… More comme les carottes, les betteraves, la roquette, les pleurotes, l’ortie, le chénopode blanc, etc.
   • Bien mastiquer afin de favoriser la production de salive (favorise la digestion, neutralise l’acidité buccale, rôle majeur dans la protection antivirale et antibactérienne), stimuler la fabrication-entretenir l’os des mâchoires.
   • Éviter les bains de bouche du commerce qui appauvrissent le microbioteChacun de nous cohabite et héberge plusieurs microbiotes (a… More et préférer une solution de peroxyde d’hydrogène** (eau oxygénée) diluée (1 volume d’eau oxygénée (3%/10 volumes) dilué dans 2 cuillères à café d’eau du robinet). Brosser la langue, les gencives et dents puis cracher.
     **pour mémoire un microbioteChacun de nous cohabite et héberge plusieurs microbiotes (a… More buccal sain et diversifié produit naturellement du peroxyde d’hydrogène pour réduire la flore pathogène.
   • N’utiliser les huiles essentielles en bouche qu’en microdoses (30ème-50ème de goutte)
   • Ne JAMAIS prêter sa brosse à dent.
     
     

2. Prendre soin de ses muqueuses buccales (gencive, langue, intérieur des joues, palais, etc.) :

   • Utiliser une brosse à dent douce (les gencives ne doivent pas saigner).
   • Ne pas utiliser de cure-dents (risque de blessure de l’émail, de la gencive ou de la joue)
   • Choisir son dentifrice avec soin. Il est reconnu aujourd’hui que certains composants sont à éviter comme le dioxyde de titane (classé mutagène), le triclosan (cancérigène, perturbateur endocrinien, allergisant, diminue la diversité du biote), ou le sodium lauryl sulfate (cancérigène, irritant, diminue la diversité du biote).
   • Masser les gencives afin de stimuler la vascularisation et vider les éventuelles poches sous gingivales.

Consulter un dentiste une fois par an pour une visite de contrôle.